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Kinshasa privé d'Agoa pour non respect des droits de l'homme

22/12/2010 à 08h:50 Par La rédaction web de Jeune Afrique
 
Avec la RDC, ce sont désormais quatre pays africains qui sont exclus du programme Agoa. Avec la RDC, ce sont désormais quatre pays africains qui sont exclus du programme Agoa. © D.R.

Après Madagascar, la Guinée et le Niger, c'est au tour de la République démocratique du Congo (RDC) de ne plus bénéficier des droits de douane préférentiels à destination des États-Unis. Motif : l'inaction de Kinshasa à résoudre le problème des droits de l'homme dans le pays.

L'administration Obama est déterminée à montrer que le respect des droits de l'homme est un critère essentiel de la coopération américaine. Sanctionnant le très mauvais bilan de Kinshasa dans ce domaine, Washington a privé la République démocratique du Congo (RDC) du statut de partenaire économique privilégié que lui conférait le programme Agoa (Africa Growth and Opportunity Act). Lequel, institué en 2000, a cependant surtout profité aux pays pétroliers.

« J'ai déterminé que la RDC n'effectuait pas les progrès nécessaires pour répondre aux critères » de l'Agoa, indique simplement Obama dans un décret. « J'ai donc décidé de mettre fin à la désignation de la RDC comme pays bénéficiaire » de ce programme qui facilite les exportations africaines vers les États-Unis pour soutenir le développement économique et les réformes démocratiques. Cette décision doit prendre effet le 1er janvier 2011.

Les forces de sécurité impliquées

« Les forces de sécurité de la RDC et d'autres groupes armés continuent de commettre des violations des droits de l'homme à grande échelle, en particulier des viols », a précisé un haut responsable américain. Surtout, Kinshasa « n'a pas réagi aux demandes des États-Unis et de la communauté internationale pour remédier à cette situation ». En décembre 2009, M. Obama avait sanctionné Madagascar, la Guinée et le Niger en les retirant de cette liste, tout en réintégrant la Mauritanie. (Avec AFP)

 

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Kinshasa: le congrès du barreau francophone plaide pour un procès juste et équitable dans l’affaire Firmin Yangambi

Radio Okapi 19 décembre 2010

(Symbole d'une justice équitable).

Le 25e congrès de la Conférence internationale des barreaux de tradition juridique commune de la francophonie qui s’est tenu à Kinshasa du 15 au 18 décembre a adopté quelques recommandations dont celle de l’exigence d’un procès juste et équitable dans l’affaire Firmin Yangambi, lui-même avocat.A ce propos, le bâtonnier congolais Mbuyi Mbiye, élu au poste de président en exercice de la CIB, Conférence internationale des barreaux, a exprimé toute la solidarité de la confrérie envers  le président de l’ONG «Paix sur terre».

Le congrès de Kinshasa avait pour thème: «Édification d’un Etat de droit».

Après quatre jours des travaux, dix-neuf barreaux sur vingt-quatre ont adopté des résolutions relatives à l’édification d’un Etat de droit, recommandé aux Etats francophone d’assurer l’indépendance de la magistrature pour une justice équitable et la démocratie, et plaidé pour l’accès facile de tous au droit et à la justice, notamment par une aide légale au profit des plus indigents.

Le congrès a aussi plaidé pour des rémunérations justes allouées aux magistrats.

Les barreaux francophones ont également convenu d’intervenir auprès des pouvoirs publics pour adopter des budgets conséquents en faveur de la justice.

«Des responsables de notre pays se sont joints à nous, l’Etat de droit pourra également préoccuper l’Etat congolais en vue de l’avancement des droits de l’homme», a déclaré la bâtonnier Mbuyi Mbiye.

Succédant au Togolais Aquereburu, le nouveau président de la CIB a dit placer son mandat (un an) sous le signe de la continuité.

«Les avocats du monde francophone sont tous solidaires. Vous les avez vus tous au procès de Me Yangambi. C’est pour vous dire qu’on a eu une démonstration de l’attachement de la CIB à la pratique du bon droit et de la bonne justice», a-t-il souligné, concernant l’affaire Firmin Yangambi.

Le prochain congrès de cette organisation aura lieu dans une année en Mauritanie.

 

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Mort de Chebeya: un flot de condamnations

Radio Okapi 3 juin 2010

Les responsables des ONG de défense des droits de l’homme du Katanga réunis ce jeudi 3 juin à Lubumbashi doutent de la véracité de la version donnée sur les circonstances de la mort de Floribert Chebeya. Au lendemain de la découverte du corps de cet activiste des droits de l’homme dans la périphérie ouest de la ville de Kinshasa, des nombreuses réactions affluent pour condamner cette mort.

Le président de l’Association africaine pour la défense des droits de l’homme ASADHO/Katanga a estimé que la version officielle de la mort de Floribert Chebeya peut-être balayée par tout Congolais réfléchi.

Les responsables des ONG de défense des droits de l’homme projettent d’organiser une marche de protestation pour exprimer leur indignation contre la disparition de Chebeya.

A Kinshasa, le collectif des ONG de défense des droits de l’homme a demandé, ce jeudi 3 juin, au chef de l’Etat congolais de se prononcer sur la situation d’insécurité dont les activistes des droits de l’homme congolais sont victimes.
Dans sa déclaration, ce collectif encourage ses membres à rester sereins face à l’épreuve.

Assassinat

Une autre réaction vient de Kampala où se tient la conférence sur la révision du statut de Rome. Une vingtaine de représentants d’ONG congolaises et internationales de défense des droits de l’homme qui participent à ces assises ont demandé au ministre congolais de la Justice l’ouverture d’une enquête indépendante.

Dismas Kitenge de la Fédération Internationale des Droits de l’Homme (FIDH), a considéré que « Floribert Chebeya a été assassiné pour son engagement en faveur des droits de l’homme», rappelant que la victime avait été arrêtée en mars 2009 par les services de sécurité congolais.

Une réaction similaire provient des Forces novatrices pour l’union et la solidarité (FONUS). Ce parti de l’opposition pense qu’on se trouve en face d’un « cas d’assassinat qui rappelle les méthodes dictatoriales d’une époque récente.»

Les FONUS invitent les défenseurs des droits de l’homme à la solidarité pour barrer la route à « la terreur et aux intimidations.»

La Monuc,  la France, la Belgique condamnent aussi

Dans un communiqué publié ce jeudi 3 juin, le représentant spécial de Ban Ki-Moon en RDC déclare avoir appris avec consternation la nouvelle de la mort de Chebeya.

Alan Doss demande aux autorités congolaises de diligenter une enquête pour que la lumière soit faite sur les circonstances de la morte de cet activiste «connu pour son engagement en faveur de la défense et de la promotion des droits de l’homme en RDC. »

Par ailleurs, la France a adressé ses condoléances à la famille, aux proches et aux collègues de Floribert Chebeya. Dans un communiqué  du  porte-parole  du  ministère  français  des  Affaires  étrangères, la France a souhaité que les autorités congolaises fassent toute la  lumière sur les circonstances de ce décès et prennent les mesures  appropriées.

La  France a rappelé l’importance qu’elle attache à l’action des défenseurs des droits de l’homme et à leur protection partout dans le monde.

Du  coté  de  la  Belgique, le vice-Premier ministre et ministre des Affaires étrangères, Steven Vanackere, s’est dit «choqué» par l’annonce de la mort de Floribert Chebeya.
Dans  un  communiqué publié ce jeudi 3 juin, M. Vanackere ajoute qu’il a demandé à l’ambassadeur de Belgique à Kinshasa, Dominique Struye de Swielande, de « suivre de près cette affaire inquiétante et, en concertation avec ses collègues de l’Union européenne, se pencher sur la suite de cette affaire. »

Ce  communiqué  souligne  aussi  que les autorités belges ont interpellé l’ambassadeur de la République démocratique du Congo en Belgique, Henri Mova Sakanyi, le mercredi 2 juin, jour de la découverte du corps de Chebeya pour l’écouter sur cette affaire.

 

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Affaire Firmin Yangambi: la Cour militaire prononce la peine capitale

Radio Okapi 4 mars 2010

La Cour militaire, garnison de la Gombe, à Kinshasa, a prononcémercredi la peine capitale contre Firmin Yangambi, président de l’ONG “Paix sur terre”.  Ce dernier était poursuivi pour détention illégale d’armes et tentative d’organisation d’un mouvement insurrectionnel.

Ces  co-accusés, le colonel Elia Lukondo, Benjamin Olangi et Erick Kikunda, ont écopé de la prison à perpétuité pour le premier, et de 20 ans de prison ferme pour les deux derniers.

Aussitôt ce verdict prononcé, Maître Yangambi a dénoncé un procès politique et l’acharnement personnel du ministère public sur lui.

Ses avocats ont promis de faire appel.

 

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Kinshasa : Firmin Yangambi prend sa propre défense lors de son procès

Radio Okapi 3 février 2010

La cour militaire de la Gombe a rejeté, mercredi, les exceptions soulevées par la défense de Firmin Yangambi et ses codétenus. Des exceptions portant sur l’irrégularité de la composition de la cour. Au cours de l’audience, Firmin Yangambi, avocat près la cour pénale internationale (CPI), a pris sa propre défense et a présenté ses excuses à la cour militaire pour solliciter sa libération.

Les exceptions soulevées par la défense de Firmin Yangambi étant rejetées, la cour militaire de la Gombe a poursuivi, mercredi, le procès Yangambi avec les plaidoiries. Firmin Yangambi, poursuivi pour tentative de mouvement insurrectionnel, a plaidé non coupable. Cet avocat de carrière a pris sa propre défense pour la première fois dans ce procès. Agenouillé et presqu’en sanglots, Firmin Yangambi a sollicité à la cour, plus de justice dans le traitement de son affaire. « Jusqu’ici ce procès a été injuste, mais vous avez encore la possibilité de montrer à l’opinion nationale et internationale que vous êtes des hommes d’honneur et qu’on peut compter sur la justice au Congo, a-t-il déclaré.
L’accusé a révélé que le réquisitoire du ministère public à son endroit a circulé dans tous les laboratoires de droit pénal à travers le monde entier. La note attribuée aussi bien par le bureau du procureur de la CPI que par l’association internationale de droit pénal international, face à ce réquisitoire a été en dessous de la moyenne, d’après lui. D’où ses excuses et son appel pour sa mise en liberté : « Monsieur le premier président de la Cour, si j’ai eu des mots déplacés je vous demande pardon. Mais sachez-le dans cette affaire, c’est l’Eternel des armées qui combat. J’en appelle à votre conscience de père de famille. J’en appelle à votre conscience d’officiers bien formés. Dieu dit : « à moi la rétribution, à moi la vengeance ». Firmin Yangambi a de nouveau clamé son innocence, insistant auprès de la cour qu’il n’a jamais participé à une entreprise criminelle comme elle l’en accuse. La cour a renvoyé l’audience à mardi 9 février 2010.

 

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Affaire Yangambi et cie : la peine de mort requise contre les 4 accusés

Radio Okapi 6 janvier 2010

Le procès qui oppose le ministère public au président de l’ONG « Paix sur terre », Me Firmin Yangambi avec ses trois coaccusés a connu une nouvelle audience ce mercredi 6 janvier à la Cour militaire de la Gombe, à Kinshasa. Elle était consacrée au réquisitoire du ministère public. A ce sujet, l’organe de la loi a requis la peine la plus forte, la peine de mort et aussi 20 ans de servitude pénale pour tous les 4 prévenus.

Siégeant ce mercredi au premier degré en matière répressive, la Cour a pris acte du réquisitoire fait par l’auditorat général militaire. Elle promet d’en délibérer dans 15 jours après la réplique de la défense. Le ministère public a requis également à chaque prévenu le paiement des dommages endéans 8 jours.
Pour rappel, Me Firmin Yangambi, avocat à la CPI (Cour pénale internationale) et ses coaccusés avaient été arrêtés le 26 septembre 2009 à Kinshasa pour deux infractions : la détention illégale d’armes de guerre et minutions ainsi que la tentative d’organiser un mouvement insurrectionnel.
rn une réquisitoire sévère, dénonce déjà la défensernLe réquisitoire du ministère public est sévère. C’est la réaction de l’un des avocats des accusés, Me Joseph Mukendi. L’avocat sollicite auprès de la Cour une réquisition médicale pour ses clients avant de contre attaquer.

Pour Me Mukendi, ce procès a pris une autre tournure ce mercredi. Après l’instruction de l’affaire, on passe à l’étape des plaidoiries qui a commencé ce mercredi avec la première sous étape, le réquisitoire du ministère public. Mais la défense revient sur sa demande faite précédemment, celle qui a trait à une réquisition médicale grâce à laquelle la défense va présenter ses moyens, a déclaré Me Mukendi, avant de qualifier le réquisitoire de très sévère. La réquisition médicale se justifie, selon l’avocat, par le fait qu’il y a eu des cas de torture qui pourraient laisser des traces sur les corps des clients. La dernière sous étape sera le verdict de la cour qui interviendra dans 15 jours. Comment peut-on requérir la peine de mort à tous les 4 prévenus ? L’avocat précise qu’il s’agit là du réquisitoire de l’organe de la loi. Il faut attendre les plaidoiries des avocats pour que la Cour tranche sur les deux points de la balance, à savoir les plaidoiries de la défense et le réquisitoire du ministère public, a-t-il conclu.

 

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Affaire Firmin Yangambi : la cour refuse la liberté provisoire à l’accusé, la défense se dit inquiète

Kinshasa | Jeudi 26 Novembre 2009 à 13:58:02

L’avocat de Me Firmin Yangambi est inquiet du refus de la cour militaire de la Gombe d’accorder une liberté provisoire à son client. Inquiétude qu’il a exprimée ce jeudi matin dans un entretien avec radiookapi.net.

Selon Me Jean Paul Mbuli, Me Firmin Yangambi et ses co accusés remplissent toutes les conditions pour obtenir une liberté provisoire : « …Nous confirmons que la Cour avait rejeté notre demande pour l’obtention de leur liberté provisoire. Mais nous sommes tout de même inquiet parce que nos clients, pour nous, présentaient des garanties sérieuses en vue de l’obtenir. Parce que qu’ils ont des résidences connues, il n’y a pas d’indices sérieux de culpabilité, et même les perquisitions qui ont été faites dans leurs maisons n’ont jamais témoigné qu’ils étaient porteurs d’armes. Et nous ne voyons pas pourquoi la Cour doit refuser cette demandeLire la suite...

 

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Affaire Firmin Yangambi: Conspiration ou cabale?

Lettre ouverte de Maître Firmin Yangambi  (Correspondance 12 Novembre 2009 sur www.aparecordc.org)


Pour rappel, l’affaire oppose le ministère public à Me Firmin Yangambi, président de l’ONG « Paix sur terre », arrêté le 27 septembre à Kisangani et poursuivi pour détention illégale d’armes de guerre et organisation d’un mouvement insurrectionnel. Lire la lettre...

 

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Affaire Firmin Yangambi : la Socipo dénonce un vice de procédure

Province Orientale | Justice | Vendredi 06 Novembre 2009 à 13:22:06

 

Quarante jours après l’arrestation de maître Firmin Yangambi et de son co-accusé Olivier Marcel, la Socipo (société civile de la Province Orientale) se dresse contre la justice militaire qui, selon elle, a péché par vice de procédure dans cette arrestation, rapporte radiookapi.net

 

La Cour jugeant Firmin Yangambi

La société civile de la Province Orientale s’insurge contre les conditions d’arrestation des deux accusés. « Sur le plan des faits, maître Yangambi est sorti le 27 septembre de sa résidence pour répondre à un appel d’un agent de l’ANR. Et de là il n’est plus rentré. Compte tenu de la manière dont il a été arrêté, pour la société civile, c’est un enlèvement et nous déplorons le fait que maître n’ait pas de garde du corps. Régulièrement il faille l’arrêter dans le respect de procédure », a déclaré René Sileki Lisaliko, vice-président de la société civile / Province orientale. Lire la suite...

 

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Affaire Firmin Yangambi : la Cour refuse la liberté provisoire à l'accusé

Mercredi 04 Novembre 2009 à 17:25:30

 

La Cour militaire de la Gombe rejette les mémoires de la défense, et par conséquent, refuse d'accorder la liberté provisoire à Me Firmin Yangambi et ses coaccusés dans l'affaire qui les oppose au ministère public. Elle estime que ces mémoires sont recevables dans la forme, mais juge les exceptions d’irrégularités soulevées non fondées. La Cour militaire de la Gombe a prononcé son "arrêt avant dire droit" ce mercredi, rapporte radiookapi.net. Lire la suite...

 

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Affaire Firmin Yangambi : la défense sollicite la liberté provisoire

Kinshasa | Mercredi 28 Octobre 2009 à 17:31:31

 

L’audience de mercredi à la cour militaire de la Gombe dans l'affaire Yangambi a été consacrée essentiellement au débat sur la demande de liberté provisoire formulée par la défense. L’affaire oppose le ministère public à Me Firmin Yangambi, président de l’ONG « Paix sur terre », arrêté le 27 septembre à Kisangani. Il est poursuivi pour détention illégale d’armes de guerre et organisation d’un mouvement insurrectionnel, rapporte radiookapi.net

 

Firmin Yangambi

Un débat houleux a dominé l’audience de ce jour. Il a opposé le ministère public et une dizaine d’avocats qui défendent Me Firmin Yangambi et ses coaccusés. De deux chefs d’accusation contre le président de l’ONG « Paix sur terre », le ministère public a reconnu l’erreur en ce qui concerne la détention illégale d’armes de guerre, par contre, elle a maintenu le grief sur l’organisation d’un mouvement insurrectionnel. Lire la suite...

 

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Affaire Firmin Yangambi : la défense sollicite la mise en liberté provisoire

Kinshasa | Mercredi 21 Octobre 2009 à 17:40:54

 

Le président de l’ONG « Paix sur terre », Firmin Yangambi, et ses coaccusés ont été présentés aux juges de la cour militaire de la Gombe, ce mercredi à Kinshasa. Ils sont poursuivis pour détention illégale d’armes de guerre et de tentative de mouvement insurrectionnel. L’audience a été remise à mercredi 28 octobre à la demande du ministère public. Les avocats des prévenus ont exigé la liberté provisoire de leurs clients, rapporte radiookapi.net. Lire la suite...

 

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Kinshasa : le procès de Firmin Yangambi fixé au 21 octobre

RDC | Vendredi 09 Octobre 2009 à 09:32:09

 

La date de début d’audience de Me Firmin Yangambi devant la Cour militaire de la Gombe est fixée au 21 octobre. La convocation du tribunal militaire est parvenue au détenu de la prison centrale de Makala jeudi à Kinshasa. Selon l’auditeur militaire supérieur, deux chefs d’accusation pèsent sur Firmin Yangambi et ses trois coaccusés. Il s’agit de la tentative de mouvement insurrectionnel à Kisangani(Province orientale) et de détention illégale d’armes de guerre, rapporte radiookapi.net. Lire la suite...

 

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RDC : les journalistes réclament plus de protection

RDC | Jeudi 08 Octobre 2009 à 16:23:39

 

Les journalistes congolais ont remis un mémo au président de l’Assemblée nationale ce jeudi à Kinshasa, à l’issue d’une marche organisée par l’Union nationale de la presse congolaise (UNPC). Des manifestations similaires ont été organisées simultanément dans 6 villes de la RDC avec le même objectif : demander à l’autorité publique une nouvelle stratégie de sécurisation des journalistes congolais. Ce, face aux assassinats et aux menaces de mort proférées contre eux, rapporte radiookapi.net

 

Marche des journalistes à Kinshasa

Dans le mémo remis à Evariste Boshab, président de l’Assemblée nationale, l’UNPC demande à la justice congolaise de mener des enquêtes sérieuses pour traquer les assassins des journalistes congolais et de les sanctionner. La justice est exhortée, dans le même document, à interpeller et entendre toute personne citée de près ou de loin dans les assassinats des journalistes. Ceci permettra de démanteler l’industrie du crime qui s’estenracinée dans le pays, estime l’UNPC. Lire le suite...

 

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COMMUNIQUE DE PRESSE : DISPARUTION DE MAÏTRE FIRMIN YANGAMBI LIBOTE ET DEUX DDE SE COLLABORATUERS ? MEMBRES DE LA FONDATION PAIX SUR TERRE.

 

La Fondation PAIX SUR TERRE/RDCongo porte à la connaissance de toute la communauté internationale, la disparition de Maître Firmin Yangambi Libote, avocat aux barreaux de Kisangani et près de CPI, ainsi que deux de membres de l’association de droit de l’homme « FONDATION SUR TERRE », à savoir Benjamin OLANGI Makenge, dit Joe Bébé et Eric KIKUNDA.

 

Depuis hier soir, Benjamin OLANGI et Eric KIKUNDA sont portés disparus dans la ville de Kinshasa. Ces deux ayant quitté le domicile de Benjamin OLANGI, dans la commune de Bandalungwa à Kinshasa, accompagnés d’un jeune enfant de plus ou moins 5 ans pour aller parachever le travail de fin d’études de Benjamin Olangi, aux alentours de 17h00 ont été enlevés par des gens inconnus. Ces derniers ont abandonné le jeune enfant avec un morceau  de papier sur lequel le nom de sa mère et celui de Joe Bébé.

 

Ce matin, le 27/09/2009, Maître Firmin YANGAMBI Libote a quitté sa résidence à Kisangani à 6 heures, selon son épouse et n’y est pas. Son téléphone portable reste fermé. Lire la suite...

 

 

Association Africaine de Défense des Droits de l’Homme
African Association for the Defense of Humans Rights

COMMUNIQUE DE PRESSE N° 35/2009
« L’arrestation de Me Firmin Yangambi, Président de l’ONG
Paix sur terre basée à Kisangani, s’est opérée en violation de la
procédure légale»

L’Association africaine de défense des droits de l’homme, ASADHO
en sigle, est vivement préoccupée par les circonstances qui ont
entouré l’arrestation de Me Firmin Yangambi, membre du Conseil
de l’ordre du Barreau de Kisangani et Président de l’ONG des droits
de l’homme « Paix sur terre ». Lire la suite...

 

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Communiqué de presse: Bosco Ntanganda doit être arrêté et transféré devant la Cour pénale Internationale de la Haye

Il y a une année que la Cour Pénale Internationale (CPI) a lancé un mandat international et a demandé au Gouvernement de la R D Congo de transférer Bosco Ntanganda. Et c’est depuis le 22 aout 2006 que les autorités de la R D Congo ainsi que la communauté internationale ont été informées du mandat délivré par la Cour pénale Internationale. Lire la suite...

 

Stichting Lisanga Congolees Steunpunt | info@lisanga.nl